prénom/pseudo Léa/BLUE DREAM ● âge 15 ans ● comment es-tu arrivé(e) ici ? Thank's to Bazzart ● fréquence de connexion 7/7 ● commentaires sur le forum : Il m'as l'air sympathoche ● code du règlement :validé par Serenity

- Maman, comment on fait les bébés ? dis la petite brunette de 5 ans à sa maman. La brunette, c'est à dire moi et ma mère étions assis sur le canapé et nous étions en train de lire un livre. Alors que j'avais soif d'apprendre et ce n'était pas le première fois que je lui demandais ça. Elle me regarda, hésita quelques secondes avant de reprendre la parole - Heu ... et bien, le papa plante une graine dans le ventre de la maman et 9 mois plus tard le bébé naît. J'applaudissais après ça, contente d'avoir enfin su comme j'étais née. Bref, mon père, Jensen Dawkins, jeune architecte à l'époque était tombé sous le charme de cette charmante brunette, ma mère, Maïssa Pietri lors d'un voyage en France. Il décidé de rester en France et de se faire naturaliser français, par amour pour ma mère. Quelques années après, je suis née deux ans après, dans la belle ville qu'était Paris. Nous vivions, tranquillement, ma mère avait décidé de prendre un très long congé maternité pour s'occuper de moi

IL N'AVAIT PAS LE DROIT DE FAIRE CA !! Il avait pas le droit de nous abandonner, il n'avait pas le droit ! criais-je alors que ma mère tenait mon petit frère et ma petite soeur dans ses bras, pour les consoler. Elle ne disait rien, m'écoutait cracher ma haine envers cet homme. Oui, cet homme était mon père, la police l'avait retrouvé une balle dans le crâne, dans son bureau, avec une lettre près de lui, s'excusant de tout ce qu'il avait fait et qu'il ne pouvait continuer à vivre avec tout ça dans sa conscience. Je ne savais pas ce qu'il avait à se reprocher, nous étions une belle famille, deux parents géniaux et trois enfants comblés, que demander de plus ? Quelques mois après, ma mère commençait à partir en déprime, elle ne mangeait presque plus, ne sortait plus. Un jour, alors que je rentrai du lycée, je trouvai mes frères et soeur assis sur des gros sacs de voyage, ma mère, disparue. Un huissier vint me parler, alors que je tenais mon frère et ma soeur contre moi, cherchant à comprendre ce qu'il se passait, pourquoi tous ces gens qui déménageaient ma ma maison, il me dit MademoisDawkins , la police a trouvé le pourquoi votre père s'est suicidé ... en fait ... il trompait votre mère et surtout avait fait de grosses magouilles dans lesquelles nous étions visés, il a préféré tout arrêter avant que ça ne dégénère ...Je la regardai et fondis en larmes sur place, ce n'était pas possible, il l'avait fait pour nous, je ne savais que penser, l'aimer ou le haïr. Puis, comme les mauvaises nouvelles n'arrivent jamais seules, il poursuivit. Nous avons emmené votre mère ... en centre psychiatrique ... désormais, nous allons devoir vous placer dans un foyer ... Je n'étais pas d'accord, bien sur et mes voisins, tous agglutinés derrière la porte, se battant pour venir nous voir ne l'étaient pas non plus, ils criaient, disant qu'ils étaient prêt à nous aider ... Quelques mois plus tard, je me retrouvai à m'occuper de mon frère et ma soeur, seule, avec parfois l'aide s des voisins pour les tâches ménagères et les déplacements. J'en voulais à tout ma famille de nous avoir abandonnés, eux qui disaient qu'on était tout pour eux ... je n'y croyais plus et ce qui comptait maintenant, c'était mon frère et ma soeur ...

J'avais enfin mon appart', j'étais enfin indépendante, même si ça avait été très douloureux de quitter mes frères et soeur qui étaient restés avec ma grand mère, seulement, j'allais enfin pouvoir faire ce que je voulais et ne pas dépendre de mes frère et soeurs. Seulement, j'allais avoir un colocataire, un homme et je ne savais pas du tout qui ça allait être, c'était ma grand-mère, une grosse bourge qui m'avais envoyée en colocation avec ce jeune homme, me certifiant que c'était un garçon plutôt pas mal, et très gentil. Alors que je passai le dernier carton dans l'appartement, baissée j'entendis des pas derrière moi Jolies fesses ! Je me retournai et souris, gênée. Ma grand-mère ne m'avais pas mentie, il était vraiment très mignon, grand, brun ... tout ce que j'aimais ...