Un vrai homme ne te dis pas je t'aime parce que tu le veux l'entendre, mais parce qu'il le pense. Un homme qui rougi c'est magnifique, un homme jaloux c'est juste la preuve qu'il t'aime. Un homme possessif c'est juste parce qu'il te veut pour lui et rien que pour lui. Un homme qui te dis qu'il langui de te voir ce n'est pas qu'il s'ennui mais qu'il veut juste t'avoir à ses côtes. Un homme n'a aucun secret pour sa femme, il ne lui ment jamais. Un homme est juste lui-même envers sa femme, mais essai de faire des efforts pour lui prouver qu'il l'aime encore plus. Si la femme l'aime vraiment, elle lui dira « mais je t'aime comme tu es ». Parce qu'un couple parfait n'existe pas, l'amour ne se prouve pas non plus à la duré de ton couple mais plutôt à ce que tu prouve au monde entier que tu aimes une personne. Un homme parfait te prendra la main devant ses potes, ne regardera pas d'autres femmes quand vous êtes ensemble, te dira qu'il t'aime dans le creux de l'oreille... L'homme parfait n'existe pas, mais cependant, il peut toujours compléter une femme...

>> Dans les yeux d'une grande soeur, elle verra toujours son petit frère comme l'homme parfait. Celui qui ne fait jamais de mal à personne, gare à celui qui osera lui faire du mal. Son petit frère c'est la prunelle de ses yeux. Son petit frère, c'est l'homme le plus beau, il n'a aucun défaut. Elle le connait par coeur, quand il ne va pas bien elle le sait, elle le ressent. Le petit frère lui n'est jamais d'accord avec sa grande soeur, la contredis tout le temps. D'après lui elle a raison, mais joue au plus fort et résiste. Il aime quand sa grande soeur lui sort des mots doux, la grande soeur aimerais des mots doux de la part de son petit frère. Des mots qu'il pense, qu'il ressent... Des choses vraies. Une grande soeur aime son frère, l'aime comme l'homme sa vie. Elle l'aimera toujours. Quoi qu'il fasse. Quoi qu'il dise. Il sera toujours parfait. Elle se remettra toujours en question après une dispute. Elle dira toujours que la petite amie de son petit frère n'est pas assez bien car elle a peur qu'on lui prenne sa place. Elle aura toujours cette jalousie quand une fille viendra lui parler. Quand on lui écrira elle demandera toujours qui s'est. Elle voudrait que son petit frère parler d'elle à chaque moment, comme elle, elle le fait. Son frère sera toujours le plus grand, le plus fort, celui qui se relève malgré tout. Son petit frère ne pleure jamais. Elle voudrait le voir tout le temps. Elle voudrait des centaines de câlins. Quand elle ne lui parle pas, elle se sent triste. Elle se sent seule. Elle à l'impression qu'il l'oublie, qu'elle ne compte pas pour lui. Elle aimerait pouvoir le faire rire tout le temps. Que les engueulades ce finissent toujours par un " je t'aime ". Toi le petit frère dont je rêvais. Tu es aujourd'hui le petit frère parfait. Si si crois-moi tu es le meilleur. Tu es celui qui fait mon bonheur. Tu devines mes moments de mélancolie, mes moments où j'en ai marre de la vie, mais tu me redonnes le sourire et l'envie de vivre ! Écoute, frère, les pleurs de mon âme. Ils raisonnent en moi, redoutant le drame, de voir un jour ton précieux sourire effacé et ta voix qui reste un souvenir, à jamais. Je ne suis pas un Dieu pour pouvoir te délivrer, seulement ta soeur, depuis toujours passionnée par cet être, à mes yeux, exceptionnel. Petit Frère, pour moi tu es un ange venu du Ciel.

Etre amoureuse. Retomber amoureuse. Ne pas réussir à faire confiance par manque de confiance en soi. Ne pas réussir à faire confiance à cause d'une déception passée. Ne pas savoir comment me comporter avec toi. Ne pas savoir contenir ma jalousie et devenir parano. Etre mal parce que j'ai peur de te perdre à chaque instant. En fait, il faut que je t'explique. Tu me fais renaître, tu es celui que j'attendais depuis six mois, celui que je voulais aimer, celui qui me ferait tout oublier, celui avec qui je me sentirais plus que bien, celui avec qui je n'aurais pas peur de m'ennuyer, car la seule chose que je veux c'est être dans tes bras. La seule chose que je veux c'est ressentir l'amour que tu as pour moi, sentir tes lèvres contre les miennes et que tu me dise des mots doux comme tu sais si bien le faire. Je veux juste que tu sois là pour moi quand ça ne va pas, que tu prenne soin de moi, que tu sèches mes larmes quand je craque. Fais-moi ressentir l'amour, je veux crier sur tous les toits ce que je ressens pour toi, je veux que le monde entier, sache à quel point je suis folle de toi. Comme tu dis, il faudrait m'interner, qu'on nous interne ensemble pour toujours. Nos petits moments de complicité, nos délires qui ne valent pas un sous, mais qui nous donne tellement de souvenir par la suite. Nos projets que l'on fait petit à petit avec les yeux qui pétillent et l'espoir qu'ils se réalisent un jour. Tu fais de moi la plus heureuse, tu ne t'en rends peut-être pas compte, mais tu me manques à chaque instant. Quand je suis avec toi le temps passe trop vite, j'aimerais l'arrêter quand nous sommes ensemble. J'écris, j'écris, mais à quoi ça sert réellement ? Ceci ne te prouvera pas plus que je t'aime. Ce n'est qu'un texte, ce ne sont que des mots, mais sans doute les mots que je n'arrive pas à te dire en face, sans doute par peur, la peur que tu ne réponde rien, la peur que tu n'en ai rien à faire. Mais ma plus grande peur, c'est celle que tu me quittes, que tu me fasses du mal, la peur que tu me détruises. Je sais d'avance que je n'aurais pas la force de me reprendre, qu'une fois tomber je n'arriverais pas à me relever, car je n'aurais plus aucune force pour affronter la vie. Ton sourire est mon plus beau trésor, ton rire est mon plus beau cadeau, ton coeur est ma plus belle récompense. En fait, je ne trouve plus les mots et pourtant je pourrais continuer comme cela encore des heures, je pourrais t'écrire des pages entières de mots doux, de mots d'amour, je pourrais te faire part de tous mes désirs, de tous mes rêves, de tout ce que je ressens pour toi. Mais le plus important à retenir c'est que je veux que nous deux ça dure, car je t'aime éperdument.

Un grand respect à toi maman qui m'a mise au monde il y a maintenant quinze ans. Je sais que je t'en fais baver, que je ne suis jamais d'accord avec toi, que je ne t'écoute pas, mais crois moi c'est tellement dur d'accepter que tu es raison. Dans ma tête quand tu me dis non c'est tout simplement, car tu veux m'empêche de vivre, tu veux m'empêcher de profiter de ma jeunesse et avec le recul je sais très bien que c'est pour me protéger. Je m'en rend compte trop tard. Ses temps ci je change c'est normal, j'essaye de me forger une carapace, je la détruit puis recommence à créer une nouvelle. J'arrive pas à trouver qui je suis vraiment, j'arrive pas à le savoir, je sais pas ce que je vaux non plus, je me dévalorise, je perd l'envie de travailler, car j'ai peur du regard des autres. Je m'occupe que de ça, au final je n'est aucune personnalité, on me le dit sans cesse, mais je suis tétue et tu le sais.. Maman je sais que pour toi c'est pas facile et que je ne t'aide pas, je sais que tu as besoin de moi comme j'ai besoin de toi, si tu savais combien nos moments rien qu'à deux me manque, maintenant à chaque fois que l'on se parle c'est pour s'engueuler et j'en peux plus, c'est pour ça que je veux plus parler avec toi. Tu me repproche sans cesse le passé et sa m'aide pas à avancer. J'ai besoin de tes bras pour me sentir vraiment protéger, pour que je sâche que tu es réellement là pour moi et que tu le sera toujours. N'écoute pas ceux qui te dise que tu es une mauvaise mère car tu ne sais pas me dire non, c'est moi qui ne sais pas t'obeir, c'est moi qui suis une mauvaise fille. Crois moi tu es la meilleure maman du monde et j'accepterais jamais que quelqu'un te fasse du mal, je serais capable de détruite ce quelqu'un. Je suis capable du pire pour toi, le meilleur aussi, même si je ne le montre pas forcément. On me dit d'écrire, car je n'arrive pas à parler, ça c'est sûr je ne pourrais jamais te dire ça en face. J'ai tellement peur que tu te moque, que tu pleure ou que tu ne m'écoute pas. En fait, quand je te parle j'ai toujours l'impression que tu ne me parle pas. J'ai besoin de sortir, besoin de m'évader, d'oublier tout ce qui se passe en ce moment, besoin d'exploser et de dépasser les limites. J'ai besoin de comprendre par moi même que ça ne vas plus. Il faut que je comprenne par moi même que les erreurs on les fait qu'une fois, si tu me laisse faire je comprendrais et je ne ferais plus l'erreur deux fois. Tu sais maman, tu es pas seulement ma mère, tu es tout pour moi, ma meilleure amie, ma soeur. Je donnerais tout pour te rendre heureuse, tout pour te faire comprendre que ta fille est pas forcément là pour te faire du mal, enfin ta fille, plutôt celle que t'a mis au monde, mais qui ne veux jamais t'écouter. Je pleure en t'écrivant ce texte, j'y laisse mon coeur, je te fais comprendre ce que je ressens pour que tu te sente moins coupable, même si je sais que sa ne changera rien à notre relation et qu'il faudra beaucoup de temps pour que l'on retrouve notre super complicité d'avant. J'ai besoin de toi comme un coeur à besoin d'un battement, besoin de toi comme le poumon à besoin d'air, besoin de toi comme mes veines on besoin de sang. Et si j'ai plus d'encre pour t'écrire je continuerais avec mes larmes que je viens de verser.. Une mère sa se remplace par alors j'en prendrais soin. <3 Madre <3

On s'accroche autant. Et on tombe de haut. Je me retrouve sur le sol. Je m'endors avec le bruit des sirènes. Autour de moi une mare de sang. Je ressens aucune douleur, sauf celle de mon coeur. Je suis dans l'ambulance. Mais il est déjà trop tard. J'ai perdu vie. J'ai plus qu'à rejoindre le paradis. Je vois ses personnes pleurer. Je comprends alors que pour moi c'est finis. Juste pour un mec. J'ai mis fin à ma propre vie. De là haut je te regarde. Je me dis que finalement t'en vallait pas la peine. Je te vois t'amuser. Tu penses même pas un petit peu à moi! Jusqu'à ce qu'arrive le soir. Tu te cache dans ton lit. Avec une peluche dans les bras. Tu pleures doucement. Tu cris mon nom au fond de toi. Tu te rend compte. Que t'as gâcher t'as plus belle histoire.

Maman, je sais que je te déçoi, que je grandis et que je change, pas en bien c'est sûr. Je sais que je te fais du mal et que je te fais vivre un enfer tout les jours, mais crois moi j'essaye de changer, mais c'est tellement dur.. Tu sais je ne te le montre pas forcément, mais je t'aime. Je n'aime pas te voir mal même si la plupart du temps c'est de ma faute. Des fois je me dis que tu n'aurais pas dû me faire et que tu aurais moins souffert. Je te rend la vie difficile alors qu'elle pourrait être simple à chaque instant. Moi et Nathan on sait que tu donne le meilleur de toi pour nous rendre la vie facile, tu fais tout pour que nous aillons une belle vie et on arrive pas à te rendre ce que tu donne. Enfin, je parle au nom de « on » alors que c'est plutôt « moi ». Tu sais si on est toujours là c'est grâce à toi, tout ce que tu fais pour nous un jour on t'en remerciera, un jour on te redonnera tout ça. Aujourd'hui on ne sait comment faire, on y arrive pas, on est sans doute encore trop jeune pour ça. Mais plus tard, quand tu sera vieille et ridé on prendra soin de toi. Je t'aime comme c'est pas permi maman, merci d'être là pour moi.

Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.

Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.

Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To seek our pale enchanted gold. The dwarves of yore made mighty spells, While hammers fell like ringing bells, In places deep, where dark things sleep, In hollow halls beneath the fells. For ancient king and elvish lord, There many a gleaming golden hoard, They shaped and wrought, and light they caught, To hide in gems on hilt of sword. On silver necklaces they strung, The flowering stars, on crowns they hung, The dragon-fire, on twisted wire, They meshed the light of moon and sun.
Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.
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Far over the Misty Mountains cold, To dungeons deep and caverns old, We must away, ere break of day, To claim our long-forgotten gold.